« L’impression d’une seule carte de visite papier consomme cinq à sept litres d’eau, sans compter le papier et les produits chimiques utilisés. C’est un outil vieux de 400 ans, à l’empreinte carbone élevée.
Et la plupart du temps, elles finissent à la poubelle ou au fond d’un sac » Avec son discours bien rodé Sébastien Doutre veut « prêcher la bonne parole ».
Aux côtés de son ami de toujours Rémi Goutarel, il a lancé la start-up, Glibl (« glibling », la facilité à créer du lien, N.D.L.R.) pour proposer une alternative à la traditionnelle carte de visite en papier…